Îles Grecques

Les BOU s’envolent pour la découverte des îles de Mykonos, de Paros et de Santorin. C’est le moment idéal pour les visiter, il ne fait pas trop chaud et il n’y a pas trop de monde. Et en Grèce c’est encore la saison touristique, toute est ouvert. Nous visiterons aussi bien sûr la capitale Athènes.

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Les BOU participants

Nous arrivons en fin de journée à Athènes, notre contact nous attend, direction notre hôtel situé au centre ville. Juste le temps d’une petite virée pour acheter notre premier Pork Gyros et une bouteille de vin. Nous dinons dans la chambre car demain nous partons de très bonne heure en bateau pour l’île de Mykonos.

Le gyros est un dérivé grec du plat turc döner kebab composé de viande, de tomate, d’oignon et de sauce tzatzíki, le tout servi dans du pain pita. les BOU trouvent cela excellent.

Nous prenons le ferry de très bonne heure au port du Pirée. Les BOU découvrent leur bateau.

MME BOU est au top.

Et c’est parti pour naviguer vers l’île de Mykonos. Elle se trouve à 180 km (environ 4 h de traversée en ferry) au sud-est du port du Pirée. L’île a une forme de triangle irrégulier brisé par de petites criques dont les plus importantes sont à Panormos (nord), Tourlos (ouest) et celle qui constitue le port de Mykonos Chora (capitale de l’île). Les principaux promontoires de l’île sont Aligomantra, Armenistis, et Evri en face de Dragonisi.

En chemin le bateau s’arrête sur plusieurs îles et l’on découvre des paysages magnifiques.

Nous arrivons en début d’après-midi au nouveau port de Mykonos, notre chauffeur nous attend pour nous conduire à notre hôtel. Nous ne sommes pas seuls, un autre couple fait le même voyage que nous. Notre hôtel est idéalement situé mais il faut faire le dernier kilomètre à pied. Mykonos Town est piéton ONLY.

Après notre installation, c’est parti pour la visite de la ville avec pour le moment un objectif, trouver un restaurant. Ce sera italien pour ce premier repas, Pasta pour M. BOU.

Et salade pour Mme BOU.

Nous sommes rassasiés, nous pouvons maintenant découvrir la ville et ses petites ruelles, voilà la Metropolitan Church une petite église orthodoxe près de Little Venice.

D’ailleurs nous arrivons maintenant a point de vue idéal de Little Venice, sans les BOU.

Comme d’habitude M. BOU fait le fou. Véritable joyau de l’île, Little Venice est un quartier populaire qui s’étend de la jolie plage d’Alefkandra aux périphéries de l’ancien château vénitien, le château Panigirakis.

Nous ne sommes pas loin des fameux moulins de l’île, il suffit de se tourner de l’autre côté.

Pendant plus de 400 ans, ces moulins du XVI siècle jouèrent un rôle crucial pour l’économie de l’île. Entraînés par les forts vents bien connus de Mykonos, les moulins broient un blé exporté partout dans le monde. Aujourd’hui, sept des seize moulins demeurent.

En passant derrière les moulins on a une vue très belle vue sur la ville et le nouveau port au loin.

Même Mme BOU fait la folle, c’est la surfeuse d’argent.

De l’autre côté la vue n’est pas mal non plus.

Nous repartons vers le centre pour nous engouffrer dans les ruelles si caractéristiques de la ville.

Elles nous amènent d’ailleurs souvent à des points de vue magnifiques.

Chaque ruelle offre l’occasion de photos.

Nous arrivons à l’ancien château vénitien, le château Panigirakis. C’est maintenant une ruine mais juste derrière se trouve Panagia Paraportiani. Achevé au XVIIe siècle, ce complexe d’églises aux murs blanchis à la chaux se compose de 5 églises adjacentes.

Tient voilà M. BOU l’acrobate.

Et Mme BOU la victoire.

Retour à l’hôtel par les petites ruelles blanches et bleues.

Ce soir nous allons manger au vieux port.

La nuit a été un peu compliquée, c’était la fête à l’hôtel avec le dîner de fermeture du restaurant. Mais le matin c’est vraiment très calme au petit déjeuner. Et aujourd’hui on prend des forces, on va beaucoup marcher.

Direction les plus belles plages qui se trouvent à l’est de l’île.

Ce n’est pas facile de suivre la côte car il y a beaucoup de résidences privées, alors parfois on se retrouve sur de petits chemins avec de petites églises.

Mais on fini par arriver et prendre l’apéro dans un endroit paradisiaque. Nous sommes à la plage Paralia Platis Gialos.

D’ailleurs les BOU sont tellement bien ici qu’ils décident d’y manger. Poulet pour M. BOU.

Et encore salade pour Mme BOU.

Et c’est reparti nous longeons la côte pour découvrir de magnifiques paysages. Direction Paraga Beach.

Petite pose des BOU.

Le temps est splendide, on profite au maximum du chemin côtier, nous allons arriver à Paradise Beach.

C’est la plage où il y a les plus grandes fêtes en été, la preuve.

Petite photo très réussie de Mme BOU.

Le moment est venu de repartir, nous sommes à plusieurs kilomètres de la ville, pas de bus en vue, alors c’est parti à pied. Cela ne fait pas peur aux BOU.

Retour en fin d’après-midi à l’hôtel, petite balade dans les ruelles avant le dîner.

Ce soir nous allons manger grecque, belles brochettes pour M. BOU.

Mme BOU a beaucoup apprécié l’endroit, que l’on a eu un peu de mal à trouver car il donne sur 3 ruelles différentes.

Retour à l’hôtel pour une bonne nuit de sommeil, cette fois sans bruit (c’est la fermeture annuelle du restaurant). Le lendemain nous prenons le bus direction Ano Mera. La station de bus est au vieux port.

Ano Mera est un paisible village situé à l’intérieur des terres.

On y trouve le monastère restauré de Panagia Tourliani. Ce complexe blanchi à la chaux datant du XVIe siècle abrite des icônes saintes et des tableaux, et est agrémenté d’un clocher imposant et d’une fontaine en marbre.

Il n’y a pas grand chose à voir dans le village, nous nous dirigeons vers la plage Paralia Kalo Livadi, hélas il n’y a rien d’ouvert, alors après une petite photo nous revenons vers Ano Mera.

Sur la place se trouve tous les restaurants avec vue sur le monastère.

Retour en bus à Mykonos Town, Mme BOU a hâte qu’il arrive.

On est loin d’avoir vue toutes les ruelles de la ville, d’ailleurs voilà la plus étroite.

Petit arrêt Spritz sur le vieux port.

Ce soir nous mangeons dans un restaurant italien, Pizza pour M. BOU.

Et Pasta pour Mme BOU.

Le lendemain nous restons sur Mykonos Town, nous organisons un concours photo entre M. et Mme BOU. Petite précision il y a énormément de chats en liberté sur l’île, alors cela fait tout de suit des photos sympas. M. BOU déclenche le premier.

Direction le vieux port.

C’est parti pour Mme BOU.

Nous longeons la mer direction le nouveau port.

Retour au centre ville avec un bateau navette, non sans mal car le premier bateau que lequel nous sommes montés est tombé en panne.

Et on continue le concours, photo de Mme BOU.

De M. BOU.

De Mme BOU.

De M. BOU.

C’est l’heure de déjeuner, on a tellement apprécié notre restaurant italien que l’on y retourne. M. BOU ne dit pas non.

Après le repas Mme BOU est déjà à la chasse aux nouvelles photos.

M. BOU dégaine le premier.

Mais Mme BOU réplique.

Pose de M. BOU.

Et de Mme BOU.

Et le concours continue, photo de M. BOU.

Et de Mme BOU.

Ce sont les Miss BOU qui votent sur WhatsApp, M. BOU l’emporte mais d’une courte tête. Fin d’une journée très active dans une restaurant du vieux port. Le lendemain direction l’île de Paros en bateau rapide pour faire les 44 km qui séparent les 2 îles.

Paros est une île en forme d’ellipse orientée sud-sud-est/nord-nord-ouest. Elle mesure 196,755 km2, ce qui en fait la troisième plus grande des Cyclades. Son littoral est long de 111 km. Elle se trouve à environ 153 km du Pirée. Son plus haut sommet, Aghion Pandon culmine à 755 m.

Organisation toujours au top, notre chauffeur nous attend pour nous emmener à notre hôte qui est à environ 1 km de la ville de Parikiá où nous avons accostés.

Les BOU ne perdent pas de temps, ils empruntent un petit chemin qui permet d’arriver en 10 min au centre ville. Nous trouvons un petit endroit pour déguster un Gyros. On adore.

N’est pas M. BOU qui découvre les petites carafes en métal de 50 cl typique de l’île.

En avant pour une première découverte de la petite ville d’environ 6000 h. Il fait un temps magnifique.

La ville est dominée par la basilique de la Panaghia Katapoliani. C’est le plus grand sanctuaire paléochrétien des Cyclades et le troisième plus grand de Grèce. Sa fondation remonte au IV siècle et le bâtiment actuel date du VI siècle.

L’ensemble architectural est ceint d’un mur long de plus de 200 m. L’église principale (40 m sur 25 m), dédiée à la Dormition de la Vierge, est flanquée du plus vieux et du mieux préservé des baptistères de l’Orient chrétien (IV siècle). Elle est aussi adossée à la plus ancienne église de l’île, elle aussi du IV siècle, transformée en chapelle (chapelle Saint-Nicolas).

Elle abrite aussi le musée archéologique et le musée byzantin de l’île. Fondé en 1960, il dépend du ministère grec de la culture. Organisé en 2 ailes autour d’une cour, le musée expose des objets allant du Néolithique à l’époque romaine. Il abrite les découvertes faites sur le site néolithique le plus ancien des Cyclades celui de l’îlot de Saliagos remontant aux V et IV ièmes millénaires av. J.-C.

La ville a eu aussi un château sur la colline en centre de la ville construit par les vénitiens, il en reste cette tour construite avec des récupération de bâtiments plus anciens.

La vue de la colline est magnifique.

On y trouve aussi une petite église.

Nous descendons maintenant vers le bord de mer qui est très sympathique avec ses restaurants et ses plages.

Nous marchons jusqu’au moulin qui domine la ville, c’est un peu son emblème.

Nous poursuivons jusqu’à l’hôtel de ville.

Retour vers le centre par un petit chemin avec une vue splendide sur la ville.

Nous nous posons un peu à l’hôtel avant de partir dîner, nous profitons d’un magnifique coucher de soleil.

Le lendemain nous prenons le bus, direction le centre de l’île et le village de Lefkés. Voici l’église de la Sainte Trinité construite en marbre blanc de Paros.


Les ruelles de ce petit village situé à 200 m d’altitude sur les flancs de l’Aghion sont charmantes.

Nous trouvons une place sympathique pour déjeuner.

L’après-midi nous allons emprunter la route byzantine qui commence du village. C’est un sentier d’une longueur de 3,5 km, recouvert de dalles de pierre et aussi de marbre de Paros. Son histoire fort ancienne se perd dans les brumes de l’époque byzantine, vers l’an 1000 après J.C..

Il offre des vues magnifiques sur l’île. Et quel silence, les BOU sont quasiment seuls sur le sentier.

Le sentier se termine au niveau du village de Prodomos que nous traversons. Nous continuons vers Marpissa puis jusqu’à Piso Livado situé en bord de mer. Les BOU ont bien marchés.

Petite pause bien méritée avant de prendre un bus à Marpissa pour rentrer vers Parikiá.

La journée se termine par un dîner en bord de mer et un nouveau coucher de soleil.

Le lendemain nous prenons à nouveau le bus pour aller à Náoussa. Petite ville touristique au nord de l’île avec un petit port de pêche.

Petite balade dans les rues de la ville en longeant le port, on voit qu’il y a du monde l’été car il y a beaucoup de restaurants. Qui cuisinent du poulpe.

Les BOU profitent pleinement de ce moment très ensoleillé.

C’est l’heure de l’apéro nous trouvons un endroit super sympa pour boire un Spritz. D’ailleurs on apprécie tellement l’endroit que nous allons y manger, en plus c’est un restaurant italien.

Après ce super moment direction à pied Mycenaean Acropolis qui se trouve à l’ouest de l’île en longeant la côte, nous avons une très belle vue sur Náoussa.

Bon finalement pas grand chose à voir à part un gros tas de cailloux. Mais bon c’était un objectif des BOU.

Retour à Náoussa pour prendre notre bus pour retourner à Parikiá.

Ce soir ce sera restaurant grecque en bord de mer. Avec Hamburger pour Mme BOU.

Et poulet pour M. BOU.

Nouvelle journée ensoleillée, ce matin nous allons monter en haut de la ville où se trouve le monastère de Agii Anargiri. La vue sur la baie est imprenable.

Petite pause au petit monastère après cette montée en lacet. Et petite pose de Mme BOU.

L’endroit est très bien entretenu et comme d’habitude nous sommes pratiquement seuls.

Nous redescendons plus vite que nous sommes montés car c’est l’heure de l’apéro. En chemin M. BOU a trouvé son Playmobil.

Et quand on aime on y revient, nous déjeunons à notre Gyros Place préférée.

Petite balade digestive dans la ville et ses petites ruelles, nous achetons d’ailleurs un pichet en métal typique de Paros. Nous longeons la côte jusqu’au monument commémorant le naufrage du navire français le Superbe érigé en 2012 (la France s’est interposée entre la Russie et l’Egypte pour aider la Grèce au XVIIII siècle).

Retour à l’hôtel pour se reposer un peu. Ce soir nous dinons dans un restaurant avec un menu international. M. BOU est conquis.

Mme BOU n’est pas en reste.

Le lendemain direction l’île de Santorin. Nous embarquons en fin de matinée pour environ 3 h de navigation. Petite frayeur de Mme BOU qui a oublié son sac à l’hôtel, retour de M. BOU en urgence pour le récupérer mais pas de panique on avait de la marge avant le départ. Tout va bien on a même le temps de faire quelques courses pour manger sur le bateau. Sur cette photo, le sac est encore sur son dos.

Santorin est à 105 km au sud de Paros. Elle a été détruite par une éruption volcanique au XVIe siècle av. J.-C., qui a définitivement façonné ses paysages accidentés. Les maisons blanches en forme de cube de ses 2 villes principales, Fira et Oia, sont accrochées sur des falaises surplombant une caldeira (cratère) sous-marine. Elles dominent la mer, des petites îles à l’ouest ainsi que des plages composées de galets de lave noirs, rouges et blancs. L’arrivée en bateau est spectaculaire, on découvre les villes accrochées aux falaises.

Comme d’habitude notre chauffeur nous attend pour nous emmener à notre hôtel situé à Fira. Il est charmant, notre chambre donne sur le patio.

Pas de pause c’est parti pour la découverte de Fira. C’est le plus grand ville de l’île avec environ 2500 h. Elle émerge pendant la seconde moitié du XVIII siècle. En 1835, elle devient la capitale de l’île, désormais grecque. Lors du séisme de 1956 une partie de Fira est détruite (une petite partie des édifices du XVIII siècle ont pu être sauvés). Aujourd’hui c’est une ville très touristique.

Les BOU se baladent dans petites ruelles où chaque endroit propose une vue magnifique.

L’île est réputée pour ses couchers de soleil sur la caldeira du volcan, les BOU vont être aux premières loges à l’apéro, Prosecco au programme.

Cela mérite bien une pose de Mme BOU.

Et de M. BOU.

Et voilà le coucher de soleil.

Après cet instant magique, nous trouvons un restaurant italien pour dîner. Le lendemain nous prenons un bus pour aller à l’ouest de l’île à Akrotiri Beach.

Nous longeons la côte à pied jusqu’à Red Beach. On y trouve une petite plage entourée de collines rouges et de roches volcaniques.

Nous remontons vers le village d’Akrotiri, il commence à faire chaud et nous avons déjà quelques kilomètres dans les jambes.

Et les BOU ont faim, nous trouvons un restaurant très sympathique dans le village. Encore un bon Gyros, n’est pas Mme BOU.

M. BOU confirme.

Nous sommes regonflés à bloc pour aller jusqu’au Kokkinopetra Beach qui offre une autre vue sur la caldeira.

C’est bon pour aujourd’hui, retour à Akrotiri Beach pour prendre un bus pour Fira. Ce soir pas de marche cela suffit, on a un trouvé un restaurant qui nous plait bien près de l’hôtel.

Nouvelle journée dans les cyclades, direction la ville de Oia au nord-ouest, c’est la pépite de l’île.

Nouvelle pose des BOU au top.

On ne se lasse pas des décors qui nous sont proposés par la nature et par l’homme.

Nous découvrons les ruelles de le la ville qui nous amène jusqu’au château. Tiens il y a aussi des moulins.

Nous rencontrons un couple de français avec leurs enfants, c’est l’échange de prises de photos. Ils sont pas beaux les BOU.

Nous continuons la visite de la ville et en chemin nous trouvons un restaurant avec une très belle vue sur la caldeira. En plus le serveur parle français.

Retour en bus vers Fira et nous découvrons encore de nouveaux endroits avec toujours de nouvelles vues sur la ville.

Ce soir nous mangeons dans un restaurant indien près de l’hôtel, très typique car il n’y a quasiment que des indiens à table. La patronne est très sympa. Le lendemain nous prenons la direction de l’est de l’île, plus précisément la petite ville de Kamari. Direction la plage pour l’apéro.

Les BOU bronzés adorent.

Nous trouvons une restaurant en bord de mer et profitons du calme de l’endroit, il n’y a pas beaucoup de monde à cette époque.

Nous avions l’intention d’aller vers la cité Antique de Théra, mais au vue des nombreux lacets du chemin qui y mène et des kilomètres pour y arriver on préfère profiter de l’endroit.

Retour à l’hôtel, Mme BOU profite de la piscine malgré la fraicheur de l’eau. Bravo.

Nous prenons le ferry le lendemain pour repartir vers Athènes. Nous profitons pleinement de la matinée à Fira.

Nous descendons un peu sur la petite rue qui descend vers le port, hello Mme BOU.

Pour les touristes qui arrivent avec les bateaux de croisière il y a des ânes pour monter du port, non pas celui-là.

Dernier petit apéro avec vue sur la caldeira.

Nous attendons sagement notre chauffeur.

Enfin pas si sagement pour Mme BOU.

Nous avons plus de 8 h de navigation pour regagner Athènes, nous allons arriver vers minuit au Pyrée. Mais nous profitons bien du bateau et du soleil.

Nous découvrons en logeant les îles de magnifiques paysages.

Le lendemain nous avons toute la journée pour visiter Athènes. C’est parti première étape la bibliothèque nationale, imposant bâtiment néo-classique de 1832.

Nous poursuivons vers le monument du soldat inconnu.

Cénotaphe historique dédié aux soldats grecs tués lors de la guerre de 14-18, construit entre 1930 et 1932. Chorégraphie de la garde à voir absolument.

Nous entrons maintenant dans le jardin national d’Athènes, grand parc historique de la ville avec plantes indigènes et exotiques, vestiges archéologiques et bibliothèques.

Voici Zappéion. Construit dans la seconde moitié du XIX siècle, il a été utilisé lors de nombreuses cérémonies officielles (comme les Jeux olympiques célébrés à Athènes) mais peut également être utilisé lors d’événements privés.

Nous sortons du parc et passons devant Olympiéion. C’est un temple dédié à Zeus très vaste, d’ordre corinthien, dont il reste aujourd’hui 15 colonnes. Sa construction débuta au VI siècle avant JC, et fut achevée par Hadrien en 131.

Direction maintenant la fameuse Acropole. Les BOU n’ont pas l’intention d’y rentrer, beaucoup trop de monde. Notre but trouver un endroit pour avoir une vue imprenable sur le monument.

Nous longeons le site jusqu’au Théâtre de Dyonisos. Il est considéré comme le premier théâtre du monde, berceau du théâtre grec antique et de la tragédie.

Mais pour avoir une vue imprenable sur l’Acropole le mieux est de monter sur la Colline des Muses. qui culmine à 147 m, où se trouve le monument de Philopappos.

Elle faisait partie des fortifications de la ville antique, et reçut à plusieurs reprises des garnisons macédoniennes au cours de la période hellénistique, Sa prise par les Athéniens fut l’un des hauts faits de la révolte de la ville contre ce roi en 287 avant JC.

En haut de la colline nous avons une vue magnifique sur l’Acropole. C’est un plateau rocheux calcaire s’élevant au centre de la ville à laquelle elle a longtemps servi de citadelle, de l’Athènes antique à l’occupation ottomane, ainsi que de sanctuaire religieux durant l’Antiquité. Inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, l’Acropole est actuellement un des sites touristiques les plus visités du monde.

On découvre aussi une vue à 360 degrés de la ville jusqu’au port du Pirée. Athènes est l’une des plus anciennes villes au monde, avec une présence humaine attestée dès le Néolithique. Fondée vers 800 avant JC. autour de la colline de l’Acropole par le héros Thésée. Aujourd’hui son aire urbaine compte plus de 4 millions d’habitants.

La colline de l’Acropole s’élève à 156 mètres. Sa partie plate s’étend sur un peu moins de 300 mètres d’est en ouest et 85 mètres du nord au sud dans son état naturel, mais les travaux du V siècle avant JC, l’ont élargie jusqu’à près de 150 m. Tout cela mérite bien une photo des BOU.

Nous redescendons maintenant vers le centre ville avec toujours des points de vue magnifiques, on aperçoit au loin le mont Lycabette. Formée au Crétacé, elle est constituée de calcaire gris. Elle culmine à 277 m et constitue le point le plus élevé de la ville. Un funiculaire, inauguré en 1965, permet de rejoindre le sommet sur lequel se trouve la chapelle Saint-Georges, bâtie au XIX siècle.

C’est l’heure de l’apéro, petit vin blanc dans une café près du monument de Lysicrate. Puis direction un restaurant pittoresque pour le déjeuner. Avec une nom très grec : Zorbas

Après cet excellent déjeuner, direction la tour des vents. Appelée aussi horloge d’Andronicos, est une horloge hydraulique antique monumentale, située sur l’agora romaine. Elle est remarquable pour les vestiges du mécanisme de l’horloge, mais plus encore pour les figures en haut-relief des divinités des vents qui ornent chacune de ses huit faces.

Nous passons maintenant devant l’agora romaine. C’est une ancienne place publique de la ville. L’agora désigne dans la Grèce antique le marché central et le lieu de rassemblement d’une ville. Le terme correspond au forum de la civilisation romaine.

Nous nous dirigeons maintenant vers le parc Thissio d’où nous avons une vue différente sur l’acropole.

Nous traversons maintenant la Place Monastiraki pour emprunter des rues pleines de cafés et de restaurants. Petite halte dans un café cubain, les BOU sont attirés par l’odeur du Rhum.

Dernier petit plaisir avant notre avion. Voici Mme BOU la classe.

Et M. BOURHUM. dit El gringo.

Retour à l’hôtel où notre taxi nous attend, direction l’aéroport.

A très bientôt pour de nouvelles BOUAVENTURES.